Dans le parc en fleur, s’épanouit l’espoir, Les rythmes des murmures tissent la lumière. Les étoiles, en silence, ornent notre histoire, Comme un doux refrain s’accroche à la terre.
Les loups du vent hurlent, entre les branches, la danse, Laures des bosquets, couronnent le chant. O nature, enivrée par cette douce essence, Je suis de ton amour, entre ton souffle errant.
- Théodore de Banville